Ce calvaire suscite plusieurs remous au sein de la communauté à Goma.en l’avant-guerre,des poches de sang sauvaient des milliers des vies à Goma,la Cpts avait en ce moment connus des félicitations venus de touts bords.
.Des civils blessés lors des affrontements.
Voilà ce calvaire qui ravage cette population décimée.A qui donner l’opportunité?
D’aucun ne l’ignore ils sont tous nos compatriotes,révèlent des sources concordantes.Est-ce un source du manque criant du sang pour sauver des vies?
.contexte
Dans plusieurs cas dont notre rédaction a effectué des descentes des femmes donnant la vie ont eu à perdre leurs vies,quel gâchis?
En ce mois dédiée à la femme l’on devrait respecter ou de surcroît la protéger.ce sont nos femmes,ce sont nos mères,celle qui donne la vie mérite notre respect.
.un cas similaire
Espérance Muiti,jadis femme au foyer au sens clair succombe en donnant la vie à un hôpital de Goma.
Le manque de sang pour secourir l’infortunée est à la base de ce décès inopiné.Son mari inconsolable regrette le fait.
.A qui la responsabilité?
L’on ne sait à qui jeter l’éponge,au gouvernement de la rdc?la banque de sang en province ou alors à la structure sanitaire ou la défunte a succomber,pendant cette période cruciale les responsabilités restent partagées.
À Goma la santé n’a plus des prix,en ce mois où les valeurs féminines sont appelés à être respectées,des morts de trop pendant un accouchement seraient un désastre affreux pour cette couche féminine.
Ce fils est est le nôtre,un martyr sous le charme des battements des armes,la guerre ne le laissera pas indifférent.A chaque fois qu’il sera sous les panneaux certe les larmes couleront.il sera sans doute un donneur de sang croyez le,affirment les proches de la famille au lieu de deuil.
À toutes les femmes qui ont perdus leurs vies en donnant aussi la vie,honneur leurs soit rendues.
La rédaction